ASSÈCHEMENT DE CHAPES LIQUIDES

Lors d’une nouvelle construction on utilise énormément d’eau lors de la maçonnerie des murs ou la pose d’une chape. Cette eau emmagasinée dans les matériaux met plusieurs semaines à sécher et parfois crée un phénomène de moisissures. Selon les conditions atmosphériques (humidité dans l’air), il faut compter une semaine par centimètre d’épaisseur de chape. Le séchage de la chape ou le séchage des murs avec des déshumidificateurs professionnels réduiront considérablement ce laps de temps.

Il faut dans un premier temps laisser durcir la chape naturellement quelques jours avant de procéder au séchage de la construction qui consiste à placer des déshumidificateurs, des ventilateurs.
Il faut utiliser des déshumidificateurs à condensation pour le séchage de la chape accouplés à des ventilateurs de chantiers dont la durée du procédé dépend de l’épaisseur de la chape et sa fluidité.

Pourquoi sécher la chape avec des déshumidificateurs ?
Les déshumidificateurs professionnels permettent de sécher les murs et chape anhydrite et ainsi réduire leur temps de séchage. Ainsi, le planning d’intervention des équipes de second œuvre peut être mieux géré et leur assure des supports bien asséchés.

Les déshumidificateurs à condensation sont efficaces au-delà de 7°C, il est donc recommandé d’adjoindre des chauffages électriques de chantiers et des ventilateurs puissants.

Séchage d’une chape en combinant déshumidificateur + ventilateurs + chauffage électrique
Les conditions idéales pour un séchage optimal d’une construction est l’utilisation d’un chauffage électrique de chantier (plutôt qu’un chauffage au fuel ou canon à air chaud qui créent de l’humidité dans l’air) pour atteindre une température entre 20 et 25 °C pour faire évaporer l’humidité dans l’air qui sera brassé avec des ventilateurs de chantier pour mieux alimenter les absorbeurs d’humidité et ainsi optimiser l’utilisation des déshumidificateurs.

Le dispositif alliant chauffage + ventilateur + déshumidificateur est surtout utilisé en hiver lorsque les conditions atmosphériques ne permettent pas un séchage d’une chape ou le séchage d’une construction de manière naturelle.